Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

12/11/2015

Passage obligé.

Hier, je n'avais pas envie de rester dans ma banlieue où tout était fermé.
Même la boulangère...
La "coulée verte" aussi était fermée.
La "coulée fermée", ça nous ennuie tous mais surtout on ignore les motifs de sa fermeture.

Alors, comme hier on avait des trains, on est parti à l'aventure.
Pas envie de cinéma, il faisait trop beau.
Juste envie de continuer à visiter les passages.

En sortant de la gare, nous avons traversé le square des Batignolles, puis, de la place Clichy,  nous sommes descendus vers la Bourse en descendant la rue de Clichy.
Nous avons tristement constaté que la spéculation immobilière se portait bien.
De superbes immeubles en pierre de taille quasiment vides à l'exception de deux ou trois irréductibles qui seront vendus avec l'immeuble...

Ca fait peine de voir Paris devenir une ville de touristes où on laissera vivoter quelques Parisiens pour faire l'animation.

On a croisé la rue de Provence et vu que le tourisme de masse a encore de beaux jours devant lui.

Arrivés à la Bourse, nous étions presque seuls dans la rue du Quatre Septembre.
Nous avons pris la rue Vivienne jusqu'au passage Vivienne.
J'adore le passage Vivienne, il me fait rêver.
J'y ai vu dans une vitrine une veste longue en tricot à 770€.
Une broutille...
J'ai alors regretté mon manque d'habileté car je ne suis capable que de tricoter le pull d'Anémone.

J'ai regardé les livres d'occasion, les jouets.
Nous avons bu un café au café Vivienne, un bel endroit.

Au retour, mon genou voulait me lâcher.
J'ai refusé !
Je n'allais pas laisser gâcher une journée parfaite par un genou !

Passage Vivienne, café Vivienne, promenade parisienne